«Il y a eu « Enterre mon cœur à Wounded Knee », best-seller de Dee Brown, célèbre histoire indienne de l’Ouest américain. Il y aura désormais ce roman extraordinaire, cri de révolte puissant d’un écrivain blanc à la plume mordante, au style unique et envoûtant, mâtiné d’ironie mordante. On aura compris que Baranger est un grand défenseur de ces Indiens qu’il admire, qu’il a fréquentés et dont il dénonce l’extermination. Une telle profusion de faits, d’anecdotes et d’épisodes historiques pourrait s’avérer fastidieuse à la longue, mais dans ce récit, l’historien et le romancier trouvent un équilibre parfait, ce qui en fait une œuvre à la fois poignante, riche en émotions, et instructive, un vrai plaisir de lecture. J’ai beau être un passionné de western et féru d’histoire de l’Ouest américain, j’ai tout de même appris bien des choses que j’ignorais ! Chapeau !"
Norbert Spehner, critique littéraire à Radio-Canada
DÈS LES PÂLISSEMENTS DE L’AUBE, de Luc Baranger, Paris, Éditions des Équateurs, 2023, 489 pages.
Dans L'EXTRAVAGANT MONSIEUR PARKER, Luc Baranger recolle en sombre les westerns made in Hollywood. Leroy Parker est un inquiétant Père Noël qui débarque sans prévenir avec sa hotte remplie de récits et de fureur. Les fées ont été remplacées par les héros ambigus de la conquête de l'Ouest. : Butch Cassidy, the Sundance Kid, Wyatt Earp, Doc Holliday, Al Jennings, etc... Les défenseurs de la loi ont les mains aussi sales que celles des despérados qu'ils sont censés traquer. Et les Indiens sont déportés et massacrés dans l'indifférence générale. Mais le côté obscur du Far West n'empêche pas la légende. Luc Baranger ressuscite brillamment la magie de ces épopées romanesques au parfum d'aventure. L'Extravagant Monsieur Parker est aussi une délicieuse et nostalgique madeleine au goût d'enfance, celle des histoires de cow-boys et d'Indiens revues par John Ford et Raoul Walsh.
Stéphane Guillaume, critique et écrivain
"Baranger a su créer un univers singulier. Ses romans, bilan d’une génération, évoquent avec indulgence, amertume et humour la société des années d’après-guerre, avec nostalgie et amour du blues et du rock’n’roll.»
Claude Mesplèdes Dictionnaire des Littératures en 2 volumes, préface de Daniel Pennac
« Baranger parle la langue de Renaud comme celle de Richard Desjardins. C’est drôle et cinglant ! »
Christophe Bergeron Voir, Montréal,
« Avec son humour corrosif, Baranger fait la preuve une fois de plus qu’il est un virtuose de la langue populaire, passant avec aisance de l’argot franchouillard à la parlure québécoise, émaillant son récit de tournures toutes barangières du genre « Si tu cries, j’te mesrine ! » et autres perles du genre. Pour fins connaisseurs."
Norbert Spehner, critique littéraire à La Presse, Montréal et à Radio-Canada
"Je m’en voudrais de ne pas parler du style de Luc Baranger. Une histoire aussi puissante, des personnages légendaires, des événements autant dramatiques que douloureux, tout cela ferait déjà de ce roman une grande fresque historique incontournable. Mais la langue de Baranger, son style imagé et son sens de l’humour punché en font rien de moins qu’un chef d’œuvre. Emballé par l’histoire, je me suis souvent arrêté pour relire une phrase bien tournée, admirer une image inspirante ou encore, sourire à un trait d’esprit intelligent. Certaines phrases font parfois chanter les mots, mais d’autres ont le pouvoir de les faire crier. De haine, de colère, de fureur et de rage !
Alors, amateur et amatrice de romans historiques, férus d’histoire et lecteurs et lectrices exigeants, ne passez pas à côté de ce roman qui trace un portrait vivant et fascinant d’une période de l’histoire dont nous ne pouvons pas être fiers. Ce roman, pour le regard de son auteur sur cette époque, deviendra un incontournable de la littérature québécoise. Cependant, je trouve essentiel de rappeler que la lecture de cette oeuvre de 489 pages est exigeante et ne se laisse pas apprivoiser facilement. Dès les pâlissements de l’aube est inclassable, difficile à catégoriser, mais il provoque une seule conclusion possible : ce roman est un pur chef-d’œuvre. En résumé, une histoire étonnante, une époque à découvrir ou à redécouvrir, des personnages plus grands que nature et une langue, un style à couper le souffle."
Extrait : " C’est le moment que la neige choisit pour tomber vraiment. Là-haut, un Dieu, honteux d’avoir laissé commettre ce massacre inutile, cherchait-il à camoufler sa désinvolture sous le tapis de la conception immaculée ? »
Richard Migneault, critique littéraire, Le Soleil, Québec
« La musique de Baranger est imagée, fleurie, précise, audiardesque. »
Rolling Stone Magazine.
" L'écriture est musclée, raffinée, recherchée. Elle navigue entre le scepticisme souriant et le respect
que mérite tout de même la mythologie. On prend autant de plaisir à savourer un style élégant et
maîtrisé qu'à débusquer une certaine fragilité même au creux des réputations les mieux établies.
Une série de réussites."
Laurent Laplante, Nuit blanche n° 102
« On ne respire guère dans cette balade menée à un train d’enfer par un auteur culotté et brillant, capable de laisser filtrer à travers la crasse et la misère un mince espoir pour les hommes de bonne volonté. À découvrir de toute urgence, juste pour le plaisir de se faire bousculer. »
La balade des épavistes, Le Soleil, Québec, mai 2007
« L'Amérique des années 70 y croise la France des années 50, le rock côtoie la java, la campagne angevine y revit en même temps que les plaines du MidWest. Sans oublier un crochet par l’Angleterre d’avant Thatcher, une Angleterre pluvieuse et charbonneuse où se meurt le swinging London.»
Michel Embareck La Nouvelle République
« Parce que Luc Baranger adore le rock’n’roll, ça paraît, ça transparaît et ça sue de page en page. Sa plume sonne dure et ronde. Argot parisien ou cajun de Louisiane, ses langues sont toujours musicales. Elles portent les marques des blessures et les mensonges de ceux qui les parlent. »
Michel Vézina, Ici Magazine, Montréal
« Une visite du siècle pleine de chaleur et d’humanité, qu’on goûte comme on écouterait un de ces disques de blues qui vous vont droit au cœur. »
L’Illustré, Lausanne
« Cet hommage au blues, à Chuck Berry et à Christopher Moore (dont Baranger est le traducteur pour Gallimard, Calmann-Lévy et Les Équateurs) est un conte noir bon enfant dans la veine de Fantasia chez les Ploucs de Charles Williams. »
La Presse, Montréal
« Au final, les amoureux de Jim Harrison et de James Crumley rangeront Baranger dans leur holster. »
Bertrand Tardé Le Quotidien de Paris
« Baranger aime jongler avec les mots. Ses livres misent sur un foisonnement de dialogues cyniques qui empruntent aussi bien à l’argot, au joual ou au créole, un grand sens de la métaphore, un réel talent de détournement des expressions toutes faites qui donne à l’écriture un aspect jubilatoire à mille lieues de la contrainte.
Vincent Pion Le Journal de l'Île la Réunion
Norbert Spehner, critique littéraire à Radio-Canada
DÈS LES PÂLISSEMENTS DE L’AUBE, de Luc Baranger, Paris, Éditions des Équateurs, 2023, 489 pages.
Dans L'EXTRAVAGANT MONSIEUR PARKER, Luc Baranger recolle en sombre les westerns made in Hollywood. Leroy Parker est un inquiétant Père Noël qui débarque sans prévenir avec sa hotte remplie de récits et de fureur. Les fées ont été remplacées par les héros ambigus de la conquête de l'Ouest. : Butch Cassidy, the Sundance Kid, Wyatt Earp, Doc Holliday, Al Jennings, etc... Les défenseurs de la loi ont les mains aussi sales que celles des despérados qu'ils sont censés traquer. Et les Indiens sont déportés et massacrés dans l'indifférence générale. Mais le côté obscur du Far West n'empêche pas la légende. Luc Baranger ressuscite brillamment la magie de ces épopées romanesques au parfum d'aventure. L'Extravagant Monsieur Parker est aussi une délicieuse et nostalgique madeleine au goût d'enfance, celle des histoires de cow-boys et d'Indiens revues par John Ford et Raoul Walsh.
Stéphane Guillaume, critique et écrivain
"Baranger a su créer un univers singulier. Ses romans, bilan d’une génération, évoquent avec indulgence, amertume et humour la société des années d’après-guerre, avec nostalgie et amour du blues et du rock’n’roll.»
Claude Mesplèdes Dictionnaire des Littératures en 2 volumes, préface de Daniel Pennac
« Baranger parle la langue de Renaud comme celle de Richard Desjardins. C’est drôle et cinglant ! »
Christophe Bergeron Voir, Montréal,
« Avec son humour corrosif, Baranger fait la preuve une fois de plus qu’il est un virtuose de la langue populaire, passant avec aisance de l’argot franchouillard à la parlure québécoise, émaillant son récit de tournures toutes barangières du genre « Si tu cries, j’te mesrine ! » et autres perles du genre. Pour fins connaisseurs."
Norbert Spehner, critique littéraire à La Presse, Montréal et à Radio-Canada
"Je m’en voudrais de ne pas parler du style de Luc Baranger. Une histoire aussi puissante, des personnages légendaires, des événements autant dramatiques que douloureux, tout cela ferait déjà de ce roman une grande fresque historique incontournable. Mais la langue de Baranger, son style imagé et son sens de l’humour punché en font rien de moins qu’un chef d’œuvre. Emballé par l’histoire, je me suis souvent arrêté pour relire une phrase bien tournée, admirer une image inspirante ou encore, sourire à un trait d’esprit intelligent. Certaines phrases font parfois chanter les mots, mais d’autres ont le pouvoir de les faire crier. De haine, de colère, de fureur et de rage !
Alors, amateur et amatrice de romans historiques, férus d’histoire et lecteurs et lectrices exigeants, ne passez pas à côté de ce roman qui trace un portrait vivant et fascinant d’une période de l’histoire dont nous ne pouvons pas être fiers. Ce roman, pour le regard de son auteur sur cette époque, deviendra un incontournable de la littérature québécoise. Cependant, je trouve essentiel de rappeler que la lecture de cette oeuvre de 489 pages est exigeante et ne se laisse pas apprivoiser facilement. Dès les pâlissements de l’aube est inclassable, difficile à catégoriser, mais il provoque une seule conclusion possible : ce roman est un pur chef-d’œuvre. En résumé, une histoire étonnante, une époque à découvrir ou à redécouvrir, des personnages plus grands que nature et une langue, un style à couper le souffle."
Extrait : " C’est le moment que la neige choisit pour tomber vraiment. Là-haut, un Dieu, honteux d’avoir laissé commettre ce massacre inutile, cherchait-il à camoufler sa désinvolture sous le tapis de la conception immaculée ? »
Richard Migneault, critique littéraire, Le Soleil, Québec
« La musique de Baranger est imagée, fleurie, précise, audiardesque. »
Rolling Stone Magazine.
" L'écriture est musclée, raffinée, recherchée. Elle navigue entre le scepticisme souriant et le respect
que mérite tout de même la mythologie. On prend autant de plaisir à savourer un style élégant et
maîtrisé qu'à débusquer une certaine fragilité même au creux des réputations les mieux établies.
Une série de réussites."
Laurent Laplante, Nuit blanche n° 102
« On ne respire guère dans cette balade menée à un train d’enfer par un auteur culotté et brillant, capable de laisser filtrer à travers la crasse et la misère un mince espoir pour les hommes de bonne volonté. À découvrir de toute urgence, juste pour le plaisir de se faire bousculer. »
La balade des épavistes, Le Soleil, Québec, mai 2007
« L'Amérique des années 70 y croise la France des années 50, le rock côtoie la java, la campagne angevine y revit en même temps que les plaines du MidWest. Sans oublier un crochet par l’Angleterre d’avant Thatcher, une Angleterre pluvieuse et charbonneuse où se meurt le swinging London.»
Michel Embareck La Nouvelle République
« Parce que Luc Baranger adore le rock’n’roll, ça paraît, ça transparaît et ça sue de page en page. Sa plume sonne dure et ronde. Argot parisien ou cajun de Louisiane, ses langues sont toujours musicales. Elles portent les marques des blessures et les mensonges de ceux qui les parlent. »
Michel Vézina, Ici Magazine, Montréal
« Une visite du siècle pleine de chaleur et d’humanité, qu’on goûte comme on écouterait un de ces disques de blues qui vous vont droit au cœur. »
L’Illustré, Lausanne
« Cet hommage au blues, à Chuck Berry et à Christopher Moore (dont Baranger est le traducteur pour Gallimard, Calmann-Lévy et Les Équateurs) est un conte noir bon enfant dans la veine de Fantasia chez les Ploucs de Charles Williams. »
La Presse, Montréal
« Au final, les amoureux de Jim Harrison et de James Crumley rangeront Baranger dans leur holster. »
Bertrand Tardé Le Quotidien de Paris
« Baranger aime jongler avec les mots. Ses livres misent sur un foisonnement de dialogues cyniques qui empruntent aussi bien à l’argot, au joual ou au créole, un grand sens de la métaphore, un réel talent de détournement des expressions toutes faites qui donne à l’écriture un aspect jubilatoire à mille lieues de la contrainte.
Vincent Pion Le Journal de l'Île la Réunion